Description
C’est les vacances. Nolwenn aura plus de temps pour s’occuper du petit chien jaune qu’on lui a offert il y a peu de temps. Comme d’habitude, elle passera ses vacances avec ses amis à l’espace loisirs de Porzh Avel. Ils s’amusent toujours beaucoup et ça commence encore mieux cette fois-ci puisque les adolescents ont un super projet… Mais Nolwenn a disparu, et un voleur va mettre les collégiens en difficulté…
Annie COZ est née en 1945, à Ploneour-Lanvern (29). Ses parents y tenaient une petite ferme et parlaient breton au quotidien. Mais dans l’école de Quimper où elle était pensionnaire, cette langue était interdite, on n’apprenait que le français. Ne rentrant à la maison qu’une fois par mois, la place du breton s’amoindrit peu à peu dans sa vie. Annie était cependant très attirée par les langues et partit à Rennes étudier l’allemand. Après deux ans passés en Allemagne, elle obtint le Capes et devint professeure d’allemand. Tant que ses parents étaient en vie, le breton restait la langue des rendez-vous familiaux. Leur mort aurait pu mettre un terme à sa relation avec cette langue. Mais en 1968, elle se maria à Jakez Cosquer, millitant pour la langue bretonne, puis c’est sa fille qui entra en classe bilingue (breton- français). Alors, le jour de sa retraite, elle annonça à son mari : « j’ai payé mon dû à la République, je suis désormais libre de faire ce qui me plaît. Si tu le souhaites, à partir d’aujourd’hui, nous nous parlerons désormais en breton. » Elle s’inscrit à Skol an Emsav (centre de formation d’apprentissage du breton) et obtint sa licence de breton. En 2014, elle publie son premier livre dans cette langue : Bili er mor (Skol Vreizh). Puis lui vient rapidement l’envie d’écrire pour les jeunes qui apprennent le breton aujourd’hui. S’ensuivent alors Milio hag ar viziterien noz (Skol Vreizh), puis Nolwenn, Bim hag al laer, son troisième ouvrage en breton.
2016, Collection Priz ar Yaouankiz 2017, 102 p., format 110 x 180 mm
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